Voici un merveilleux chapitre tiré du livre "Une nouvelle optique sur la Vie" que nous vous invitons à lire. Il s'intitule "l'Homme qui réussit" et vous donnera des clefs pour comprendre comment améliorer votre propre condition.
Bonne lecture à tous !
"Les conditions du succès sont peu nombreuses et faciles à établir.
Les emplois ne relèvent pas vraiment des fluctuations du hasard, du destin ou de la fortune. Ceux qui attendent la chance font généralement l'expérience de la malchance. L'homme capable, seul, peut garder un emploi. On doit être capable de contrôler son travail et capable d'être contrôlé dans son travail. On doit être capable, également, de laisser certaines zones incontrôlées. L'intelligence est directement reliée aux capacités. On n'est jamais trop intelligent. Mais par contre on peut être trop stupide.
Il est possible d'être en même temps capable et intelligent et de ne pas réussir. Le secret du succès réside dans la capacité de diriger et de contrôler, non seulement les outils de sa profession, mais les gens dont on est entouré. A cette fin, il faut être capable d'un très haut niveau d'affinité, capable de tolérer des réalités solides et également de donner et de recevoir des communications.
Les composantes du succès sont donc : tout d'abord, l'aptitude à regarder en face le travail, avec joie et non avec horreur ; le désir de faire le travail pour lui-même, non parce qu'on « doit recevoir une paye ». On doit être capable de travailler sans se surmener ou sans sombrer dans un épuisement profond. Si quelqu'un ressent cela, c'est que quelque chose ne va pas. Il y a quelque élément dans son environnement qu'il devrait contrôler alors qu'il ne le contrôle pas, ou alors les blessures qu'il a accumulées sont telles qu'elles l'éloignent de tous les gens et des masses avec lesquels il devrait être en contact étroit.
Les composantes d'un travail réussi sont : une formation et une expérience dans le domaine en question, une bonne intelligence et une habileté générale, une aptitude à avoir une haute affinité, une tolérance du réel, et l'aptitude à communiquer et à recevoir des idées. Pour celui qui les possède, il ne reste qu'une mince possibilité d'échec. Armé de ces qualités, un homme peut tout ignorer des aléas de la naissance, du mariage ou de la fortune, car naissance, mariage et fortune ne sont pas capables de placer dans ses mains ces indispensables ingrédients. On peut avoir tout l'argent du monde et être encore incapable de fournir une heure de travail honnête. Un tel homme serait misérable et malheureux.
La personne qui évite soigneusement de travailler œuvre d'ordinaire beaucoup plus longtemps et plus durement que celle qui regarde joyeusement le travail en face et l'exécute. Les hommes qui ne peuvent pas travailler ne sont pas des hommes heureux.
Le travail est la donnée stable* de cette société. Sans quelque chose à faire, il n'y a rien pour quoi vivre. L'homme qui ne peut pas travailler est comme mort, d'ordinaire il préfère la mort et il travaille pour y arriver.
Les mystères de la vie ne sont plus désormais, grâce à la Scientologie, très mystérieux. Le mystère n'est pas un ingrédient nécessaire. Seul l'homme très aberré désire qu'on maintienne hors de son atteinte de vastes secrets. La Scientologie a taillé à travers les nombreuses confusions qui ont été érigées pour les hommes et elle a mis le cœur de ces problèmes à nu. Pour la première fois dans l'histoire de l'Homme, la Scientologie peut élever de façon prévisible le niveau de l'intelligence, augmenter les aptitudes, restituer l'aptitude à jouer un jeu, et permettre à l'Homme d'échapper à l'engrenage destructeur de sa propre incapacité. Le travail lui-même peut donc devenir un jeu, une chose plaisante et à propos.
La Scientologie nous a appris une chose très importante sur l'état d'esprit du travailleur. On pense souvent, dans cette société, qu'il travaille dans l'attente de sa paye et qu'il n'accomplit rien d'important pour l'ensemble de la société. Il y a plusieurs choses qu'on ne sait pas. Notamment combien il y a peu de bons travailleurs. Au niveau des directeurs, il est intéressant de remarquer à quel point une importante compagnie trouve précieux celui qui peut prendre en main et contrôler les tâches et les hommes. De telles personnes sont rares. Tout l'espace vide, dans la structure du monde du travail contemporain, se trouve au sommet.
Et il y a une autre chose tout aussi importante, c'est le fait que notre monde a été amené à croire, par le biais des philosophies mentales mises en place pour le trahir, que quand on meurt c'en est fini pour de bon et qu'on ne porte plus la responsabilité de rien. Il est hautement improbable qu'il en soit ainsi. On héritera demain de ce qu'on vient de quitter.
Une autre chose que nous savons, c'est que les hommes ne sont pas des accessoires. Les vieilles philosophies enseignent aux hommes que s'ils pensent qu'ils sont indispensables, ils n'ont qu'à aller faire un tour au cimetière et à regarder : ces hommes-là aussi étaient indispensables. C'est la plus sûre des sottises. Si vous regardiez réellement avec soin dans le cimetière, vous y trouveriez le mécanicien qui a mis au point les modèles d'antan et sans qui il n'y aurait pas d'industrie aujourd'hui. Il est peu probable qu'en ce moment même on accomplisse une telle prouesse. Un ouvrier n'est pas seulement un ouvrier. Un travailleur n'est pas seulement un travailleur. Un employé de bureau n'est pas seulement un employé de bureau. Ce sont des piliers vivants, qui respirent, sur lesquels la structure entière de notre civilisation est bâtie. Ce ne sont pas des rouages d'une puissante machine. Ils sont la machine elle-même."
source : L'HOMME QUI RÉUSSIT - CHAPITRE 12
Une Nouvelle optique sur la vie disponible ICI.
* donnée stable : donnée qui empêche que les choses soient dans la confusion et autour de laquelle les autres données s'ordonnent.